Nomad School of Villejuif by Jean Prouvé (1957), Place de la Concorde, Paris (Patrick Seguin Gallery, Fiac), November 2018. Image : © PFRunner
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Image : © PFRunner
Claude & Duval factory (1946-1951) in Saint-Die-des-Vosges, France, unique industrial building designed by architect Le Corbusier ; interior view, hall, ground floor, changing rooms (2015). Image : © PFRunner
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Modern Heritage (20th century): « Halle Freyssinet » (1929) in Paris, interior view (north and central vaults) of south part, not refurbished, with railroad tracks remaining (2012). Image : © PFRunner
Ancienne halle de messagerie de la gare d’Austerlitz à Paris, cette partie de la Halle Freyssinet accueillera en 2016 le restaurant du futur incubateur de start-up de la Ville de Paris
(Jean-Michel Wilmotte architecte, Xaviel Niel investisseur). Image : © PFRunner
Junkers Plane Engine Factory in Strasbourg, France, opened in 1941, a rare exemple of industrial architecture under Nazi era. View from inside, recently renovated (installation of a footbridge). Image : © PFRunner
Image : © PFRunner
Strasbourg. Ancienne usine (banc d’essai) Junkers Flugzeug-und-Motorenwerke AG [1941]. Un des seuls vestiges français de l’industrie de guerre nazie.
L’important site industriel de l’usine d’automobiles d’Émile Mathis, à Strasbourg-Meinau, remontant à 1911, est réquisitionné dès le début de la Deuxième Guerre mondiale par la firme Junkers, l’un des principaux constructeurs aéronautiques d’Allemagne. Pour la production et la révision de moteurs de bombardiers et d’avions de chasse, deux ensembles de Prüfstand (bancs d’essai) sont construits à partir de 1941, dessinés vraisemblablement par un ingénieur de Junkers au siège de la firme, à Dessau. Le bâtiment 1, «werk M», le seul achevé, survit aux bombardements de mai et août 1944, et les douze bancs d’essai, chacun comportant deux tours rectangulaires ouvertes, sont utilisés jusqu’en 1951 par l’Arsenal de l’aéronautique, basé à Châtillon-sous-Bagneux (92), le reste de l’ancienne usine Mathis étant occupé par les automobiles Citroën. Le deuxième ensemble de bancs d’essai, demeuré inachevé, a été récemment démoli, comme les deux tours de refroidissement qui complétaient l’installation. Les bancs d’essai subsistants ont été occupés en 1978 par une entreprise de travaux publics.
Adresse
33, rue du Maréchal-Lefebvre. Plaine des Bouchers. Strasbourg
Junkers Plane Engine Factory in Strasbourg, France, opened in 1941, a rare exemple of industrial architecture under Nazi era. Image : © PFRunner
Image : © PFRunner
Strasbourg. Ancienne usine (banc d’essai) Junkers Flugzeug-und-Motorenwerke AG [1941]. Un des seuls vestiges français de l’industrie de guerre nazie.
L’important site industriel de l’usine d’automobiles d’Émile Mathis, à Strasbourg-Meinau, remontant à 1911, est réquisitionné dès le début de la Deuxième Guerre mondiale par la firme Junkers, l’un des principaux constructeurs aéronautiques d’Allemagne. Pour la production et la révision de moteurs de bombardiers et d’avions de chasse, deux ensembles de Prüfstand (bancs d’essai) sont construits à partir de 1941, dessinés vraisemblablement par un ingénieur de Junkers au siège de la firme, à Dessau. Le bâtiment 1, «werk M», le seul achevé, survit aux bombardements de mai et août 1944, et les douze bancs d’essai, chacun comportant deux tours rectangulaires ouvertes, sont utilisés jusqu’en 1951 par l’Arsenal de l’aéronautique, basé à Châtillon-sous-Bagneux (92), le reste de l’ancienne usine Mathis étant occupé par les automobiles Citroën. Le deuxième ensemble de bancs d’essai, demeuré inachevé, a été récemment démoli, comme les deux tours de refroidissement qui complétaient l’installation. Les bancs d’essai subsistants ont été occupés en 1978 par une entreprise de travaux publics.
Adresse
33, rue du Maréchal-Lefebvre. Plaine des Bouchers. Strasbourg
En voyant, cette image, quelqu’un me fait un jour la remarque : « — C’est curieux, on dirait L.I. Kahn! (projet à Rochester, NY). Je ne connaissais pas ce bâtiment, l’Église unitaire, mais la remarque était juste. Et la filiation plus large avec le Bauhaus évidente…
Paris : Headquarters of the French Communist Party, Place du Colonel Fabien, by Oscar Niemeyer architect. The temporalily installation in-situ is made by Freaks architects, Paris : http://bit.ly/SA8aLl
Image : © PFRunner 2012
Siège du parti communiste français (Oscar Niemeyer architecte) avec l’installation éphémère de l’agence Freaks (vidéo ici : http://bit.ly/SA8aLl ). Place du colonel Fabien. Paris
© PFRunner novembre 2011, Paris.
Genoa… alla Basilico
Genova, 2010 ©
La ville de Renzo Piano. Une montagne qui tombe dans la mer, cela donne une ville en pente, truffée d’escaliers, d’impasses, d’ascenseurs et de funiculaires. Je l’ai parcourue avec les images en tête de Gabriele Basilico, qui avait fait le portrait d’une autre ville en pente, une voisine : Monte-Carlo.
Little Beaubourg seen from the pound… Architect : Shigeru Ban architecte, Metz (2010). Image : © PFRunner
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Mars 2010 : le bâtiment est quasiment en ordre d’ouverture*. Il reste les flaques, pour le plaisir du photographe.
Petit Pompidou Metz, Shigeru Ban, Jean de Gastines architectes.
* L’inauguration a lieu le 11 mai 2010.
Junkers factory in Strasbourg, France. Industrial architecture under Nazi era. Image : © PFRunner 2006
Strasbourg. Ancienne usine (banc d’essai) Junkers Flugzeug-und-Motorenwerke AG [1941]. Un des seuls vestiges français de l’industrie de guerre nazie.
L’important site industriel de l’usine d’automobiles d’Émile Mathis, à Strasbourg-Meinau, remontant à 1911, est réquisitionné dès le début de la Deuxième Guerre mondiale par la firme Junkers, l’un des principaux constructeurs aéronautiques d’Allemagne. Pour la production et la révision de moteurs de bombardiers et d’avions de chasse, deux ensembles de Prüfstand (bancs d’essai) sont construits à partir de 1941, dessinés vraisemblablement par un ingénieur de Junkers au siège de la firme, à Dessau. Le bâtiment 1, «werk M», le seul achevé, survit aux bombardements de mai et août 1944, et les douze bancs d’essai, chacun comportant deux tours rectangulaires ouvertes, sont utilisés jusqu’en 1951 par l’Arsenal de l’aéronautique, basé à Châtillon-sous-Bagneux (92), le reste de l’ancienne usine Mathis étant occupé par les automobiles Citroën. Le deuxième ensemble de bancs d’essai, demeuré inachevé, a été récemment démoli, comme les deux tours de refroidissement qui complétaient l’installation. Les bancs d’essai subsistants ont été occupés en 1978 par une entreprise de travaux publics.
Adresse
33, rue du Maréchal-Lefebvre. Plaine des Bouchers.
The « Unité d’Habitation » or « Cité Radieuse » is a « Housing Unit », modernist residential housing design principle developed by Le Corbusier. Image : © PFRunner
Unité d’habitation de Briey par Le Corbusier, dans l’Est de la France. Image : © PFRunner
C’est en bout de France, en Lorraine, une Unité d’Habitation. C’est à Briey-en-Forêt. Il fait froid. Il fait nuit. Cela tombe bien, car la Fondation Le Corbusier veille. Il est interdit de publier des photos d’un bâtiment de Le Corbusier sans son accord. Tant mieux, la Cité Radieuse a tout fait pour disparaître dans la nuit d’hiver.